Je ne suis pas souffrante, je n’ai pas abandonné mon blog, rassurez-vous, tout va bien.
Histoire de l’animer un peu, alors que je n’ai pas vraiment de temps à lui consacrer, je vous livre l’épilogue de l’un de mes romans. Juste un petit copié/collé et hop ! Si le temps devait persister à me manquer, j’userais de cette même facilité. J’ai un peu honte, m’en voudrez-vous ?
Cette superbe image vient d'ICI
Épilogue « La Naine du Sagittaire »
Des histoires d’amour tragiques, des événements effroyables occasionnent parfois des souffrances que l’on peut qualifier d’insurmontables. Certains se disent : « Mais comment peuvent-ils endurer une telle épreuve ? Moi, je sais que je ne le pourrais pas ! » Alors, à la question, comment ont-ils fait, seules les personnes touchées seraient aptes à répondre. Cependant, invariablement elles s’interrogent sans comprendre ce qui les fait tenir. Certes, quelques points d’accroches peuvent subsister et notamment des enfants, des parents… Mais les autres, ceux qui se retrouvent seuls, comment font-ils ? Je crois sincèrement à la main tendue, celle qui arrive juste au moment où l’on ne croit plus à rien. Comment cette main est-elle arrivée là ! Si l’on se penche un peu sur notre passé, on va s’apercevoir que bien des détails curieux ont jalonné notre parcours. Les anges ! nous les avons surnommés ainsi. Oui c’est vrai, c’est une certitude – la mienne – ils veillent sur nous. Quelquefois, on se surprend à dire : « Mon ange m’a laissé tomber ! » Peut-être avait-il d’autres chats à fouetter et allait-il en renfort vers plus nécessiteux. Puis un jour, on constate que tout va bien et que, derrière notre épaule, il est là et veille. Notre ange nous envoie des messages que certains perçoivent et d’autres pas. Cette main tendue, à point nommé, vous pensez qu’elle n’est que le fruit du hasard ?
Peut-être nous faudrait-il être plus attentif à notre ange et devenir, à notre tour, cette main salvatrice qui se tend.
Maintenant vous le savez, tous nos rêves nous sont insufflés par L.A.C. Alors, ne serait-il pas judicieux d’en tenir réellement compte dans nos futurs agissements ? Serait-il concevable que, grâce à eux, nous puissions échapper à ce puissant désir d’un retour vers le passé, pour changer le cours de notre destin ?