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  • : Le blog de Mary J'Dan
  • : Vous voulez créer ou enrichir votre bibliothèque virtuelle ? Ce blog a pour objectif de promouvoir les œuvres littéraires d’auteurs inconnus. Ce vivier d’ouvrages, qui sort des sentiers battus de l’édition classique, recèle de véritables trésors en lecture libre sur la toile. Des liens inhérents à ces ouvrages vous seront proposés, soit pour une lecture intégrale soit/ou pour vous procurer la version papier.
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9 février 2008 6 09 /02 /février /2008 10:14

On attire toujours les mêmes ! Quelle est donc la source de cette phrase ? Peut ont donner crédit à une telle expression sans avoir un vécu, une expérience chiffrée en années suffisamment nombreuses, pour se permettre de regarder dans le rétro et faire un bilan, le bilan de sa vie ? Alors, le compte est bon ! J’ai acquis le recul nécessaire pour confirmer l’authenticité de ce que l’on pourrait réduire à un cliché.

Pourquoi un tel constat aujourd’hui ? Un bien étrange comportement s’est naturellement imposé ces derniers mois. Je pourrais qualifier cette récente attitude de sauvegarde, comme un rempart à l’image de ceux de Vence. J’ai baptisé cette conduite : fuite devant l’ennemi. Qui est-il donc cet adversaire ? L’homme ! Celui qui révèle, dans son regard, des projets qui ne concernent que lui, pour lui. Alors, comme une midinette, je détale puis je change mes itinéraires pour échapper à ces fameuses rencontres que l’on voudrait me faire croire hasardeuses.

On attire toujours les mêmes ! Les hommes qui ont croisé ma vie, étaient de piètres contrefaçons, des clones que, tel un puissant aimant, j’ai bien involontairement attiré. Des losers menteurs, opportunistes, égoïstes, pédants et pour le dernier en date, j’ajoute : rat… (Mon Dieu, pardonnez-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font). Les bons, les vrais, les protecteurs… Ceux-là sont attirés vers d’autres, ce qui ajoute à leur valeur. Lucide et surtout pas amère, j’esquive la fatalité, mais je conserve une sincère affection pour l’homme.

On attire toujours les mêmes ! Mes amis sont solides, aimants, bienveillants, fidèles… Hommes ou femmes, ceux-là, je les garde précieusement, c’est mon trésor, c’est ma revanche sur… les autres.

Mon nouveau choix de vie, entourée de mes amis, m’apporte enfin la plénitude d’un confort inégalable.

Alors oui, on attire toujours les mêmes.

Qui s’assemble se ressemble ! Pas toujours vrai, mais… Ce sera l’occasion d’un autre billet.

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8 février 2008 5 08 /02 /février /2008 16:23
Certains attrapent la grippe, d'autres se font vacciner et moi... Je me suis fait taguer par Sogo.

Voici la règle de ce jeu :

- Livrez dans votre prochain article, 7 de vos secrets concernant votre vie, votre famille, votre enfance, votre animal… (liste non exhaustive).

- Recopiez la règle du jeu.

- Désignez ensuite 7 heureux gagnants, sans oublier de passer leur laisser un petit commentaire pour les prévenir que vous les avez tagués, puis invitez-les à venir consulter sur votre blog… La règle du jeu.

Et je vous livre, ci-dessous, mes 7 secrets :

1 - Depuis une poignée d’années, je soupçonne tous les hommes, qui tentent une approche, de mauvaises intentions.

2 - J’écoute les menteurs en ricanant intérieurement, tout en les poussant à se perdre dans leur propre mensonge. (Oui, je sais, c’est pas bien).

3 - J’accuse la société de tous mes maux. ( Elle a néanmoins quelques responsabilités, na !)

4 - Je ne me tiens pas à mes propres promesses, peut-être aussi parce que je tiens toujours celles que je fais aux autres alors, ça m'épuise ;)

5 - Hormis quelques remords, je n’ai jamais eu de regrets. Probablement grâce à cette faculté d’enfouir ou d’écarter tout ce qui me dérange ou me blesse. Donc, ou je me « venge » immédiatement si c’est nécessaire et possible, ou j’oublie.

6 - Je vois le plus souvent le verre à moitié vide plutôt qu’à moitié plein.

7 - Et enfin, je me trouve toujours des excuses. L’aviez-vous remarqué ?

 

Après ce petit confessionnal, à mon tour de taguer.
Un peu nouvelle sur Overblog, mon choix sera rapide. Voici mes élus : Stéphanie, Sam, Moâ, Jenny la martienne, Écriveuse, Nadia-vraie et Catharina.
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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 16:32

Il est des jours, de ces jours noirs où les catastrophes, petites, moyennes ou grandes s’enchaînent, quelquefois à un rythme infernal. Et c’est précisément dans ces instants que l’on se dit que notre ange gardien nous a lâchement abandonné. Que faire d’autre sinon pester contre ce mauvais sort traqueur, ce persécuteur débusquant la moindre faille pour s’y engouffrer sans vergogne, et avec détermination ! Attendre, face à une lutte souvent perdue d’avance ? Certains disent : série noire, jamais deux sans trois, demain est un autre jour, etc. D’autres ajouteraient qu’après avoir touché le fond, nous ne pouvons tomber plus bas alors, réjouissons-nous. Bien maigres consolations que toutes ces balivernes ! Et si l’on y restait, au fond, y a-t-il là de quoi se réjouir ? Quelqu’un a-t-il déjà eu l’idée, après avoir constaté la désertion de son ange gardien, de téléphoner à Zorro ? Est-il venu sur son fier destrier noir ? emoticon-zorro.gif Si oui, vous voulez bien me donner son numéro de téléphone ?

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7 février 2008 4 07 /02 /février /2008 13:23
Je divise volontairement ces trois pages afin de ne pas rebuter mes lecteurs à la vue d'un article trop long. Les suites seront numérotées ;)
Le n° 1, c'est ICI


Leroy-Pédantier roulait de plus en plus vite, notre amie ne pouvait plus suivre, elle était loin derrière.

« Apparemment il y a urgence, il a le feu aux fesses, pensé-je effarée.

C’était irréaliste ! J’avais l’impression de tourner dans un mauvais film. Nous avons fait ainsi une dizaine de kilomètres. Au loin j’aperçus l’enseigne d’un hôtel connu. Alors qu’il s’engageait dans le parking de l’hôtel je me garai, tous feux éteints, à la place idéale au milieu d’autres voitures ; ainsi je pouvais voir sans être vue. J’avais à peine serré le frein à main que la voiture de notre amie passa, sans me voir, tout près de moi pour aller se garer près de mon cher époux. C’est seulement à cet instant que je réalisai, enfin, qui elle était. J’étais anéantie. Comment ai-je pu avoir eu aussi peu de discernement. D’emblée je l’avais écarté. Physiquement elle représentait tout ce qu’il n’aimait pas chez une femme. Là, j’ai eu confirmation qu’il « sautait sur tout ce qui bougeait. »

Je les observai tous les deux, ils étaient descendus de voiture. Il n’y avait qu’elle qui parlait, je ne pouvais entendre mais j’imaginai fort bien ce qu’elle devait lui dire : elle savait que je savais !

Près de moi une voiture venait de démarrer. J’en profitai pour en faire autant et rentrai bien vite à la maison, en pleurs évidemment. Menteur, roué, fourbe et pédant sont ses principales qualités, et elles n’ont, au fil du temps, jamais été démenties.

« Cette fois il est pris au piège, comment va-t-il pouvoir s’en sortir ? pensé-je toujours aussi innocemment.

Quelques minutes plus tard, le coupable rentra, le sourire aux lèvres, presque la fleur aux dents ! Il entreprit de faire comme si de rien était. « Sait-on jamais, elle n’a peut-être rien vu ! » Immédiatement je lui dis que je les avais surpris tous les deux devant l’hôtel.

— Décidément, tu ne t’arranges pas. Il va falloir que je te fasse soigner ! D’abord je ne connais pas cet hôtel et en plus j’arrive directement du boulot. C’est du propre ! Voilà à quoi tu passes ton temps, tu as bêtement suivi quelqu’un que tu as pris pour moi.

Et pan ! Dans les dents ! Me voilà encore traitée de cinglée.

— Tu voudrais me faire croire que je n’ai rien vu ? Qu’elle ne m’a pas vu non plus et que c’est par hasard qu’elle roulait derrière moi ? Au fait, elle a déménagé depuis quand ?

Au bout de quelques minutes, se sentant acculé, il opta pour une nouvelle tactique. Dans un bâillement théâtral il lâcha : (Ceux qui ont lu mon article sur les menteurs, comprendront).

La suite prochainement ;)
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6 février 2008 3 06 /02 /février /2008 16:49
Ce billet sera uniquement consacré aux participants de ce concours.

  Jeudi 21 février, ils sont 6


- Jenny la martienne est la première et pour lire sa lettre, c'est ICI

- Stéphanie (looseornotloose) vient de publier la sienne et c'est ICI

- Juliette , notre 3ème participante et c'est ICI

- Pseudo, (Green-blood)
et hop ! 4ème et c'est ICI

- Hicham, un magicien des mots et c'est
ICI

- Sophie, chère Sogo vient juste de publier la sienne et c'est ICI
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5 février 2008 2 05 /02 /février /2008 18:56

Extrait de « Vers la lumière… »

À l’automne de l’année 1982 je lui soupçonnais une nouvelle maîtresse. Ses justifications d’absences se faisaient de plus en plus incohérentes. J’allais donc mettre tout en œuvre pour le démasquer et me transformer en détective privé ! Je relevai le kilométrage de la voiture entre chacun de ses déplacements et me renseignai, discrètement, sur ses horaires de travail qui pouvaient varier d’un jour à l’autre. Avec la complicité d’un collègue et ami, j’étais comptable pour une agence immobilière, je mis sur pied toute une stratégie pour suivre Leroy-Pédantier en voiture.

Un soir, alors que je rentrais chez-moi, je posai ma main sur le capot de sa voiture. La chaleur qu’il me restitua était sans équivoque ; il venait de rentrer. Il ne travaillait pas ce jour-là et était censé réviser, une session d’examens, ou de certificats, était proche. Je lui demandai donc s’il était sorti.

« Mais non voyons. J’ai révisé toute la journée et d’ailleurs je n’ai pas terminé. »

Je savais pertinemment que si je lui mettais le nez dans son mensonge, même preuve à l’appui, et là c’était le cas, il me traiterait encore de « malade » ou de « cinglée ». Immanquablement il trouverait une parade, fut-elle tirée par les cheveux, à l’explication du moteur chaud. C’était inévitablement les mêmes ripostes : nier ses mensonges ou tout simplement faire diversion. Cependant, je gardais en tête qu’à vouloir trop insister je risquais d’éveiller ses soupçons.

Le lendemain, avec mon collègue, nous nous postâmes en sentinelles sur le parking du centre commercial où Leroy-Pédantier remplissait les rayons d’un hypermarché. Mais ce jour-là, les "espions" s'étaient déplacés en vain. Loin de me décourager, j’allais réitérer la semaine suivante, toutefois sans mon collègue qui avait tenté de me dissuader.

« Tu n’arriveras à rien comme cela, il ne peut pas être aussi bête ! »

Il ne le connaissait pas, et il ne me connaissait pas…

Je me postai à quelques mètres de sa voiture et pris mon mal en patience. J’étais persuadée qu’aujourd’hui j’allais enfin savoir sur laquelle il avait jeté son dévolu, (intuition ?) Je la connaissais forcément puisqu’il me les emmenait toutes à la maison, mais pour cette fois la prudence avait été de mise. Je n’avais pas réussi à la débusquer. En procédant par élimination, aucune des femmes parmi nos relations ne pouvait être, à mon sens, une maîtresse potentielle.

Enfin le voilà qui sort, il se dirige vers sa voiture. Je me tasse sur mon siège le temps qu’il arrive jusqu’à la portière. Précaution inutile, il allait rejoindre sa maîtresse, il planait… Même devant lui, il ne m’aurait pas vu !

« Zut, si elle me voit c’est fichu ! »

Au moment de démarrer, je venais d’apercevoir une de ses collègues, et amie de notre groupe. Elle se dirigeait vers sa voiture stationnée un peu plus loin. Je me dis :

« Pas le temps de lui dire bonjour, ce sera pour une autre fois. »

J’avais rarement vu Leroy-Pédantier démarrer aussi rapidement. Je pris tout de même le parti de le suivre malgré notre amie. Elle m’avait certainement vue et je pensais :

« Bof ! Je lui expliquerai un de ces jours. »

Cette course-poursuite n’était pas simple, il commençait à faire nuit et il roulait presque à tombeau ouvert. De plus je prenais garde à ce qu’il y ait toujours au moins deux ou trois voitures entre nous. Un coup d’œil au rétro me permit de remarquer que notre amie avait l’air de me suivre.

— Ah bon ! elle habite par-là maintenant ? pensé-je naïvement. »

Ce billet est  composé de trois pages donc, pour la page 2, ce sera à suivre... peut-être demain.
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5 février 2008 2 05 /02 /février /2008 15:06

En quelques mots, voici d’où me vient ma passion des mots. Il était une fois, il y a fort longtemps…

Ma plus belle révélation fut ma toute nouvelle capacité à déchiffrer les mots. Pas un mot, pas une phrase n’échappaient à mon œil de plus en plus gourmand. À défaut de livre sous la main, je lisais les enseignes, les publicités, tout ce qui se trouvait à portée de vue. Passés les contes d’Andersen et autres, les « contes et légendes » furent les premier livres qui allaient constituer ma bibliothèque. Qui se souvient de ses impressions de premières lectures, de cette sensation de puissance qu’offre la possession de la clé de décryptage ?


Subtil et indicible plaisir que ce sentiment de création lorsque je formais mes premiers mots. L’un s’ajoutant à l’autre, je constituais des phrases puis, avec un mélange d’euphorie et de curiosité, je couvrais les pages blanches de mes rêves, de mes souhaits, mais aussi de mes ressentiments ou colères enfantines. C’est ainsi que prirent forme mes premières histoires.

Je n’ai pas vraiment de littérature de prédilection. Tout, ou presque, m’intéresse et j’ai l’incorrigible manie de chercher des similitudes entre les auteurs et leurs personnages. Un petit jeu de construction amusant lorsqu’un auteur a publié plusieurs ouvrages. J’aime passionnément reconnaître un auteur lors de mes lectures et ce que je ressens est assez curieux. C’est un peu comme si je retrouvais un lieu accueillant auprès d’une vieille connaissance. Oui, je suis un peu « allumée » et c’est pourquoi il n’y a plus de moquette chez-moi.

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4 février 2008 1 04 /02 /février /2008 16:42
A-quoi-bon.pngDe Christine Motti : Après cinq années consacrées à l'enseignement de l'anglais, l'auteur a dédié les cinq suivantes à l'écriture au sein d'une société de presse et d'édition. Depuis quinze ans maintenant, elle exerce la fonction de consultante-formation auprès d'un cabinet parisien. Le démon de l'écriture ne l'ayant jamais quittée, elle a publié en 2005 un premier recueil de nouvelles, aux éditions Publibook, intitulé "Absurde, vous avez dit absurde ?"

Résumé :
Deux nouvelles douces-amères, en demi-teintes... "Le grand méchant look" retrace la sombre destinée d'une femme. "La femme au sac plastique", rédigée sous la forme d'un dialogue mère-fille, illustre le poids des obsessions qui nous poursuivent, parfois tout au long d'une vie... (Sélection du Prix Alexandrie 2007)

***********

Le grand méchant look est un thème peu courant et j’approuve le titre donné pour ces deux nouvelles. En effet, à quoi bon ! 

Et si cette femme, au sac plastique, n’était qu’un prétexte pour mettre en évidence l’incompréhension mère et fille ! Qu’elle soit douce ou caractérisée, la folie serait-elle seule responsable ? Chacune suit son idée, l’une délivre ses délires obsessionnels sous forme de mises en garde, le tout parfaitement décousu et la fille, imperturbable, n’entend que sa propre interrogation. Mais qui est cette femme ? Voilà de quoi tenir le lecteur en haleine.

La construction de l’ensemble est parfaite et en réponse à mon commentaire sur « Des hauts et des bas », oui, vos autres ouvrages sont de la même veine. Je réitère donc mon bravo et merci Christine Motti.

12 pages de pur plaisir !

L’auteur vous offre la lecture intégrale de cet ouvrage.

Cliquez sur l’image puis sur [télécharger]

 

Vous avez aimé un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout ???? À vous

 

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4 février 2008 1 04 /02 /février /2008 16:26

Ces dernières années, j’ai été contaminé par un étrange virus qui me fait inverser le libellé de certains principes inculqués à mes enfants.

- Je remets toujours au lendemain ce que je ne suis pas tenue de faire le jour même.

- L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tard…

Bref, j’évite toutes les contraintes. La télé est souvent allumée, mais je coupe le son. Les infos me démoralisent, alors je coupe les images, mais pour ne pas m’isoler du monde, je regarde quelquefois les infos de M6. C’est court, concis et c’est suffisant. Le soir, je ne manque pas de regarder, lorsqu’il y en a, films et séries dans le domaine de la fiction, de l’étrange mais également certaines séries policières. Je passe beaucoup de temps devant l’écran de mon ordinateur à lire ou à faire des recherches sur Internet et lorsqu’il est l’heure de préparer le repas de mes petites boules de poils, je ronchonne en constatant que la journée se termine déjà. Mais la nuit va commencer, ma période privilégiée pour l’écriture. Elle est loin ma vie trépidante d’avant ! Bien sûr, ces journées sont ponctuées de sorties pour toutou. Je l’emmène également à la plage, celle dont l’accès est autorisé pour les chiens, mais ma petite bourrique ne veut pas aller dans l’eau. Je lui ai pourtant prouvé qu’elle savait nager !

Une envie presque irrépressible me taraude depuis quelques jours… et je devrais ajouter des heures aux heures. Je vous en parlerai un autre jour.

Une vie bien banale de retraitée non retraitée.

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1 février 2008 5 01 /02 /février /2008 15:49
À l’approche de la Saint Valentin, les « plus belles lettres d’amour » vont fleurir. Nous pourrions nous différencier en publiant la « plus belle lettre de rupture ».            3d-coeur-brise.gif


Je propose donc que ceux et celles qui se sentent inspirés, publient sur leurs blogs respectifs cette fameuse lettre avec un titre personnalisé.

Pour donner plus de poids à cette contribution, je vous suggère de déposer votre « candidature » sur mon livre d’or jusqu’au 13 février minuit, ce qui permettra un lien centralisé pour n’oublier personne en allant visiter tous les blogs participants. Cela nous permettra également de ne rater aucun des commentaires placés sur lesdits blogs. Mais cela vous imposera aussi de visiter régulièrement le livre d’or. Je ne vois pas d’autre solution et j’accepte toutes les bonnes idées. Je vais tirer une drôle de tête si ce livre brille par sa page blanche. mini-frappadingue-12839.gif

Ensuite, nous pourrions instaurer un système de vote pour élire la plus belle, ou délicate, ou drôle etc.

Résultats le jour de la Saint Valentin ? Que pourrions-nous offrir à notre gagnant(e) ?
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Quant à moi, je peux promettre une diffusion de cette lettre et de son auteur sur d'autre supports, ce qui lui amènerait des visiteurs supplémentaires.

À vos suggestions U_THIN-1.GIF
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Plus vous relisez vos écrits, plus vous doutez.

Lors de vos relectures, vous entendez vos mots et le son se substitue à la vue. Ainsi, à chacune de vos relectures, vous décelez de nouvelles fautes ou coquilles.

L’œil exercé du correcteur est là, pour vous.

 

Calista-Corrections est une aide précieuse dans le cheminement de vos ouvrages jusqu’à l’édition, où elle pourra vous orienter.

 

Vous voulez en savoir plus ? C’est ICI


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La majorité de ces ouvrages sont en lecture libre
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