De Jean-Luc Flines
Jean-Luc Flines est un auteur dont l'inspiration est à la fois classique et surréaliste, à la frontière de l'absurde. Il écrit également des nouvelles et des romans.L'écriture est une de ses raisons de vivre et son imagination, l'âme de ses histoires. J-L Flines écrit notamment des textes sur le thème du fantastique, des chroniques imaginaires à propos de l'Amérique des années 1910-1960 et des récits dans lesquels l'art occupe une place essentielle. Il est également aquarelliste et illustre régulièrement ses propres textes. Enseignant de formation, il s'occupe d'un atelier d'écriture théâtrale pour des jeunes âgés de 10 à 12 ans. Il a régulièrement participé à des stages de mise en scène et d'acteur au sein du Théâtre National de la Communauté Française de Belgique avec notamment Bernard De Coster et l'auteur Bernard da Costa pour l'écriture dramatique. Il réalise régulièrement des films de courts-métrages pour présenter ses oeuvres picturales. Ses aquarelles ont été exposées à Bruxelles, Charleroi, Paris, Marseille, Nîmes, Arles, Avignon,Sion, Francfort, Tokyo.
Le résumé :
Une série de treize nouvelles où le fantastique pénètre insidieusement le quotidien, l'absurde et la poésie. Toute ressemblance avec des faits réels ne serait pas l'effet du hasard mais plutôt la rencontre de plusieurs mondes parallèles !
Quelle belle écriture ! Je vous retrouve monsieur Jean-Luc Flines, je vous reconnais ! Dans ce recueil, toutes vos nouvelles, ou petites histoires, sont délicieuses.
Le pouvoir du rêve appartient à l’émouvant Scaraboc… Ce petit être, minuscule, a déclenché en moi une infinie tendresse allant jusqu’au désir de le cajoler, pour lui faire oublier l’inaccessibilité de son rêve d’être un homme.
Mais que dire de « Docteur, je deviens fou ! » ? Ce texte est une pure merveille ! « Les feuilles de mon chêne se sont suicidées… » « Albert Einstein prétendait que les mesures de la force du vent et de la connerie humaine sont relatives à la position et au mouvement inversement proportionnel à la hauteur du miroir de la commode… » Le vent, ce harceleur, ira jusqu’à développer en lui un sentiment de persécution, c’est transparent, c’est limpide. Un pur bonheur que cette envolée lyrique parsemée d’humour, quelle réjouissance ! Il est aussi question de feuilles mortes, celles qui se ramassent à la pelle, dans le METAMORPHENOMENA X et, celles-ci provoquent quelques souvenirs de chansons…
Le temps et le vent sont les acteurs principaux de ce recueil, mais je ne voudrais pas oublier cet éloge du silence en VI. Il n’est effectivement pas forcément synonyme d’absence de bruit et ne se veut pas, surtout pas, souffrance.
Monsieur Jean-Luc Flines, je vous admire et ce sentiment vous est définitivement acquis. Mille fois merci.29 pages du pur plaisir !
L’auteur vous offre la lecture intégrale de cet ouvrage.
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