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  • : Le blog de Mary J'Dan
  • : Vous voulez créer ou enrichir votre bibliothèque virtuelle ? Ce blog a pour objectif de promouvoir les œuvres littéraires d’auteurs inconnus. Ce vivier d’ouvrages, qui sort des sentiers battus de l’édition classique, recèle de véritables trésors en lecture libre sur la toile. Des liens inhérents à ces ouvrages vous seront proposés, soit pour une lecture intégrale soit/ou pour vous procurer la version papier.
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27 février 2008 3 27 /02 /février /2008 10:05
Jeudi 28 février à 8 h 25 = 1 vote

Un petit souci de maintenance ! Pour ceux qui ont déjà voté, il faut recommencer undefined

La plus belle lettre de rupture : Enfin ! Les votes sont ouverts avec un nouveau candidat : Moâ !

Je n'ai pas trouvé d'autres solutions, pour instaurer la fonction des votes, que celle-ci :

Alors, en votre âme et conscience, pour voter c'est ICI

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22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 10:33

Certains rêves nous interpellent et l’on s’interroge. En trouver la signification est une tâche bien complexe. La plupart du temps, nos rêves ne sont que le fruit de la journée passée, mais lorsque l’un d’eux est récurrent…

Il est un rêve qui m’a poursuivi pendant des années. Je ne saurais dater exactement sa première apparition si ce n’est ma période d’adolescente. Je rêvais de mon ami le lion. Pourquoi mon ami ? Parce qu’il n’a jamais réussi à me croquer ! Je me réveillais toujours à temps. Trêve de plaisanterie, ce cauchemar me terrorisait. Ces jeux de cache-cache terrifiants se déroulaient dans des décors toujours différents et plus saugrenus les uns que les autres. En revanche, l’objectif du lion était perpétuellement identique : me pourchasser et probablement, faire de moi son repas. Dans son avant dernière apparition, en 2000, la traque se déroulait dans un parking. Un jeu de course-poursuite effroyable. Je me faufilai entre les voitures, à quatre pattes je frôlai les pare-chocs, les portières, il m’avait à l’œil. Quelquefois, il était si proche que j’aurais pu le toucher, je sentais son souffle qui me glaçait le sang. Il était rusé et c’est en sueur et toute tremblante que je reprenais conscience. Jusqu’à cette dernière visite, je n’en avais pas saisi son sens. Puis, il a disparu pour se manifester de nouveau, une ultime (je suppose) fois.

Dans celui-ci, le scénario avait pour décor une forêt. Un couple d’amis et leurs enfants, que je n’avais pas revus depuis quelques années, occupaient une petite maison, faite de bois, en plein milieu de ladite forêt. Je les saluai et les quittai pour me rendre chez-moi, à pied évidemment. Étrangement, je n’avais pas la moindre appréhension à traverser ce milieu sombre. C’est alors que je vis mon lion, couché non loin de moi, à une dizaine de mètres environ. Mon premier réflexe fut d’aller vite me cacher, mais, intriguée par son comportement, je n’en fis rien. Je le vis se lever et me regarder avec une telle indifférence que je restai interdite. Après m’avoir jeté un regard vide de toute émotion, totalement absent, impassible, il me tourna le dos et s’en fut avec nonchalance sans d’autre regard vers moi.

À mon réveil, prise d’une sorte de malaise moral, limite vexée, j’essayais d’analyser le radical changement de ce qui avait été, depuis toujours, un cauchemar. J’ai enfin eu ma réponse, et c’est lui, mon lion, qui est venu, en personne (si je puis dire), me la donner. Pendant de très, très longues années, ma lutte a été incessante et j’ai dû me battre contre vents et marées. Cette nuit-là, mon lion est venu me dire : « Tu n’as plus besoin de lutter, repose-toi maintenant ! » Peut-être était-ce lui qui me donnait force et courage. Je ne veux surtout pas croire qu’il se désintéresse de moi maintenant, parce que je n’en vaux plus la peine. Depuis, j’attends et j’espère de nouveau sa visite, comme au bon vieux temps ! Sans lui, c’est un peu comme si j’étais morte    pancarte-lacheur.gif

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21 février 2008 4 21 /02 /février /2008 17:57
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C'est en faisant une petite visite chez Jenny et ensuite chez Enriqueta que j'ai fait la connaissance de ce robot, tête chercheuse ultra rapide. Si si si, il lit aussi vite qu'il répond. Tiens, ça me rappelle un truc.
Dès l'instant où il n'en dit que du bien...



Le blog de Mary J’Dan : Alors là, franchement, c’est du caviar, du web-caviar poour être exact ! Le blog de Mary J’Dan regorge de traits d’esprits et de perles linguistiques… D’ailleurs, peut-on parler de Blog, alors qu’il s’agit, à n’en pas douter, de grande littérature ? Le Sud Est a enfin trouvé son nouveau Victor Hugo en la personne de Mary. Ça va être dur de faire mieux. Pourvue que ça dure !

Signé LisaBuzz


Amusez-vous bien undefined
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21 février 2008 4 21 /02 /février /2008 14:22

Oups ! Vous avez tous sacrément bossé pendant mes quelques jours de pause. Aie aie aie, que de lectures à rattraper. Aujourd’hui sera consacré à répondre à vos commentaire et à une visite chez-vous pour y lire vos nouveautés. Je ne sais pas si d’ici ce soir je serais à jour, alors je vais la faire courte3d-ferme-la-blabla.gif

 

Bisatous, à tout à l’heuretoute-contente.gif

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16 février 2008 6 16 /02 /février /2008 15:37

Me voilà contrainte de vous abandonner pour cause de surcharge, non pas pondérale hinhin.gif mais de travail.

Cet abandon sera de courte durée, je l’espère mini-triste-283492.gif

Dès mon retour, je répondrai, en particulier aux commentaires de mon ami Hicham, ainsi qu’à tous vos nouveaux articles.

Cependant, je resterai vigilante quant aux nouvelles « lettres de rupture » que vous publierez de façon à les insérer immédiatement sur la liste des participants, avec vos liens.

Intuition ou hasard, quelle bonne idée que de repousser la date de clôture de ce concours !

 sorry-6624.gif



À tous, plein de bisous et à très bientôt bisou-smack.gif

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14 février 2008 4 14 /02 /février /2008 09:58
De Jean-Luc Flines

undefinedJean-Luc Flines est un auteur dont l'inspiration est à la fois classique et surréaliste, à la frontière de l'absurde. Il écrit également des nouvelles et des romans. L'écriture est une de ses raisons de vivre et son imagination, l'âme de ses histoires. J-L Flines écrit notamment des textes sur le thème du fantastique, des chroniques imaginaires à propos de l'Amérique des années 1910-1960 et des récits dans lesquels l'art occupe une place essentielle. Il est également aquarelliste et illustre régulièrement ses propres textes. Enseignant de formation, il s'occupe d'un atelier d'écriture théâtrale pour des jeunes âgés de 10 à 12 ans. Il a régulièrement participé à des stages de mise en scène et d'acteur au sein du Théâtre National de la Communauté Française de Belgique avec notamment Bernard De Coster et l'auteur Bernard da Costa pour l'écriture dramatique. Il réalise régulièrement des films de courts-métrages pour présenter ses oeuvres picturales. Ses aquarelles ont été exposées à Bruxelles, Charleroi, Paris, Marseille, Nîmes, Arles, Avignon,Sion, Francfort, Tokyo. ..


Résumé :
Paris ! Recomposer son visage éternel au travers de personnages insolites ; des rencontres promenades avec l’étrange. On croit qu’on rêvasse le long d’un trottoir, au bord de la Seine, au milieu d’un parc de verdure et on se souvient !... On se souvient qu’au jardin du Luxembourg, le Sang du Poète était bien vivant le temps de croiser Madame Édith, la môme-chaisière !?...

******************

Dans le jardin du Luxembourg, cette nouvelle évoque la flânerie, si propice dans certains lieux à nous transporter vers l’imaginaire, l’irréel. Le pouvoir mystérieux de ces jardins nous emporte quelquefois dans des rêveries où l’impossible n’existe pas, où tous les scénarios sont permis. C’est aussi une manière de faire revivre le passé, en mettant en scène des êtres disparus ou des évènements d’un autre temps. J’aimais tout particulièrement me laisser envahir par ces chimères et j’aimais beaucoup moins le retour à la réalité J. Mon lieu de prédilection était le parc Monceau, et mes fantômes rôdent toujours là-bas.

À partir d’un simple fait anodin, Jean-Luc Flines nous fait partager un bien joli moment de lecture.

La fin est tout simplement magnifique, mais, chers lecteurs, ne commencez pas par la fin. Vous vous priveriez du charme de cette histoire.

10 pages du pur plaisir !

L’auteur vous offre la lecture intégrale de cet ouvrage.

Cliquez sur l’image puis sur [télécharger]

 

Vous avez aimé un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout ???? À vous

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14 février 2008 4 14 /02 /février /2008 09:41
Oups ! J'ai seulement oublié de mettre le lien pour ce concours de la plus belle lettre de rupture.

Le concours
Et la liste des participants ICI


help-sos-sos-29402.gif

Repoussons-nous le concours de la plus belle lettre de rupture, à la fin du mois ?


« Bloguer » est un travail de tous les instants crazy2.gif


Alors, ces 15 jours de plus, qu’en pensez-vous ?     tope-la-42.gif

 

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13 février 2008 3 13 /02 /février /2008 16:02

radiographie-29402.gifLe lendemain, j’allai surprendre mon « tendre » époux à la sortie de son travail. Stupéfaction, il était encore avec elle. Il voulait rompre en douceur, me dira-t-il plus tard. Le vase avait débordé depuis longtemps, mais j’avais encore un peu de ressources.

Ma colère était à son paroxysme. Je fis demi-tour sur-le-champ et rentrai à la maison. Je savais ce que j’allais faire. L’heure de fermeture du centre commercial était encore éloignée, j’avais le temps. J’agrippai avec rage et détermination un sac-poubelle que je remplis du linge sale de l’infidèle. Je retournai aussitôt au centre commercial pour remettre ce sac à l’accueil. Tous me connaissaient bien et donc je savais que je pouvais me le permettre. Mais de toute façon mon opiniâtreté me portait et rien n’aurait pu m’arrêter.

« Bonsoir, tu voudras bien remettre ce sac à Leroy-Pédantier tout à l’heure ? Il comprendra. »

Le sac n’était pas fermé et elle avait pu apercevoir son contenu. Elle me regardait avec des yeux interrogateurs, je m’empressai de lui dire :

« Oui je sais, c’est son linge sale. C’est à sa maîtresse de le laver maintenant. Tu étais au courant n’est-ce pas ? »

Je ne me souciais pas des clients qui étaient proches de nous. Quelques années plus tard, une collègue de bureau me confia qu’elle avait assisté à cet « épisode » et qu’elle s’était fait la réflexion, avec d’autres clientes :

« En voilà une qui ne se laisse pas faire ! »

Hélas, cela ne l’a jamais empêché de recommencer.

Peu importe, je devais à tout prix soulager ma colère. Cette histoire avait fait grand bruit et fait le tour du centre commercial. Je suis cependant prête à parier qu’il avait dû tourner cette aventure à son avantage et s’en tirer avec les honneurs. Je subodorais aisément les propos qu’il pouvait alléguer pour sa défense. « Elle est malade et un peu cinglée… », comme d’habitude.

Néanmoins je ne peux pas parler pour lui. En revanche, il est en mon pouvoir de certifier qu’à chaque fois qu’il s’est trouvé acculé devant des tiers, il arrivait à renverser la situation pour que cela se retourne contre moi. « On peut tout prouver si les mots dont on se sert ne sont pas clairement définis. » Dans cet exercice, il était expert !undefined 




Ci-contre, sa photo

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12 février 2008 2 12 /02 /février /2008 12:03
Le 1, c'est ICI

Le 2, c'est ICI

— Bon d’accord, je vais tout de dire, mais c’était un secret. En réalité nous te préparions une surprise pour ton anniversaire.

— Et tu crois que je vais gober ça ? Tu n’as évidemment pas eu suffisamment de temps pour te préparer un bon mensonge, bien plausible. Mon anniversaire n’est que dans plusieurs mois.

— Oui, je sais, mais c’est une surprise qui exige beaucoup de préparations.

— Ben, mais c’est bien sûr ! Donc, si j’ai bien compris, votre rendez-vous n’avait rien à voir avec la bagatelle ?

— Mais bien sûr que non ma puce, je le jure sur la tête des jumeaux. »

Mon sang n’a fait qu’un tour ! Quelle honte ! Il se servait des enfants pour se crédibiliser.

« Je téléphone tout de suite à ta maîtresse et je vais voir quelle version elle va me servir.

— Non, ne fait pas ça, tu vas te ridiculiser. »

J’empoignai le téléphone en lui jetant un regard assassin.

« Allô ! Devine qui c’est ?

— Tu ne m’auras pas, je t’ai reconnu ! répondit-elle niaisement.

— Et tu sais pourquoi je t’appelle ?

— Ben, non… toujours aussi niaisement !

— Tu n’étais pas derrière moi au volant de ta voiture tout à l’heure ? Tu n’avais pas l’air de prendre la direction de chez toi pas vrai ?

— Quoique tu puisses penser, tu as tort, je n’ai rien à me reprocher, scanda-t-elle en s’imaginant donner ainsi un accent de vérité.

— Bon ok, je te donne un choix ou bien tu avoues ou je rappelle tout à l’heure quand ton mari sera rentré. À toi de voir.

— Mais t’es dégueulasse, tu n’as pas le droit de briser mon ménage ! me répondit-elle fortement outragée. »

Et voilà, elle, elle s’octroyait le droit de briser le mien et il était tout à fait injuste que je brise le sien. Cette réflexion m’ulcéra au point que je pris la décision que, quoi qu’elle fasse, je préviendrai son mari. Et bien entendu, pour la surprise je lui posai la question. Son embarras m’amusa presque. Ils n’avaient pas eu suffisamment de temps pour se mettre d’accord et concocter un stratagème. Je lui intimai l’ordre d’avouer sur-le-champ.

« Bon, bon, j’avoue, voilà t’es contente ?

— Bravo, ton amant est à côté de moi, il t’a entendu et ta réponse lui évitera de s’emberlificoter un peu plus dans ses mensonges. Ceci étant dit, je te laisse la soirée pour faire tes aveux auprès de ton mari. Je lui téléphone demain.

— Mais c’est malhonnête ! T’avais promis… commençait-elle à implorer.

— Je n’ai rien promis et je dis chapeau bas à la briseuse de ménage, de la part de celle, qui comme toi, va devenir, elle aussi, une briseuse de ménage ! »

Je raccrochai. Il est des personnes avec qui la discussion n’est pas possible : « …la paille dans l’œil du voisin mais pas la poutre dans le sien. »

À suivre...


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10 février 2008 7 10 /02 /février /2008 10:27

undefinedCe billet, dédié à Hicham, n’a pas pour objectif de démentir le précédent : Brève analyse.

Je voudrais simplement apporter quelques éclaircissements. Lorsque je dis que nous attirons toujours les mêmes, je n’accuse personne : il n’y a pas réellement de responsable. En réalité, notre profil psychologique serait le seul coupable, puisqu’il suscite l’attirance de personnes en recherche inconsciente, dudit profil. Ainsi, je ne jette pas la pierre à ceux qui sont « tombés dans mes filets », il n’est donc pas besoin de réconciliation. Alors, je clame haut et fort que j’aime toujours autant la gent masculine, mais étant donné le fâcheux impact de mes « filets », je préfère qu’ils s’en tiennent au rang d’amis.

 

Je cite Hicham : « Je dois être un de ces "mêmes" puisque je suis sur ton blog. Ça le fait quand même ? Parce que je ne voudrai pas te déranger malgré moi. »

connerie.gifJe m’étais forcément mal exprimée parce que j’ai le sentiment d’être une terroriste chez le MLF. Que nenni, que nenni ! Je vous aime tous et pardon à ceux que j’ai blessé, « il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler », et il faudrait en faire autant sur son clavier en y ajoutant un peu de douceur. chat-blanc-video.gif

Hicham, undefined pour ton intervention.
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Mon royaume


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pour qu'il ne reste que le plaisir d'écrire...

Plus vous relisez vos écrits, plus vous doutez.

Lors de vos relectures, vous entendez vos mots et le son se substitue à la vue. Ainsi, à chacune de vos relectures, vous décelez de nouvelles fautes ou coquilles.

L’œil exercé du correcteur est là, pour vous.

 

Calista-Corrections est une aide précieuse dans le cheminement de vos ouvrages jusqu’à l’édition, où elle pourra vous orienter.

 

Vous voulez en savoir plus ? C’est ICI


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La majorité de ces ouvrages sont en lecture libre
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